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Fiche France-Crashes 39-45 créée le 21-11-2024
Date Nation Département Unité - Mission
10-03-1943 Angleterre/Common. HORS CADRE 77 Sq RAF München, Allemagne
Localisation Près de Boussu, Belgique - 18 Km O-S-O de Mons
Circonstances Abattu par un chasseur de nuit
Junkers Ju88 - Photo du site passion-histoire.forumactif.com
Ju88
piloté par Uffz Dieter Erichsen de la 2./NJG 4 - 02h15 - Avion évacué en parachute
Commentaires Décollage 20h00 d'Elvington, Yorkshire UK
Sources ** Livre Listes des bombardiers et équipages perdus:
Royal Air Force - Bomber Command Losses of the Second World War
par WR Chorley
WR Chorley
/ http://www.bddm.org / https://collections.arolsen-archives.org / Livre RAF Evaders: The Complete Story of RAF Escapees and their Escape Lines
par Oliver Clutton Brocks
RAF Evaders
/ aviation-safety.net
Historique 21/11/2024=Création
Grade Prenom Nom Poste Corps Etat Lieu d'Inhumation Commentaires
Sq/L Robert John Sage Pil RAF Prisonnier 39342 - Né le 22/12/1915 - Doncaster, Yorks UK - Capturé le 10/03/1945 à Mons, Belg - PoW 258 - Dulag Luft Oberursel (03/43)/Oflag XXI-B Schubin (03/43)/Stalag Luft III Sagan (04/43)/Marlag-Milag Tarmstedt (-04/45)
Sgt Bernard James IvattBernard James Ivatt Walker Mec RAF En fuite 950785 - Lien Rapport WO 208/3313/1208
F/Lt Brian Desmond Barker Nav RAF VR En fuite 129452 - DFM - Né le 14/12/1921 - Cambridge UK - En fuite par Pyrénées/Espagne/Gibraltar - Retour 14/07/1943 - Lien Rapport WO 208/3314/1298
Sgt Maurice Crabtree Bomb RAF En fuite 1206747 - Se pose à Pommeroeul, Belg - Fuite par la Suisse (25/04/1943) - Lien Rapport WO 208/4246/25
P/O Dennis Walter Bateman Rad/M RAF Prisonnier 139205 - Né le 05/03/1920 - Birmingham UK - Capturé le 11/03/1943 à Condé-sur-l'Escaut (59) - PoW n°242 - Dulag Luft Oberursel/Oflag XXI-B Schubin (17/03/43)/Stalag Luft III Sagan (11/04/43-20/01/45)/Marlag-Milag Tarmstedt (03/02/45-10/04/45)
Sgt Dennis Loader Morris MitS RAF Prisonnier 1476160 - Né le 28/10/1922 - PoW n°222747 - Buckley UK - Se pose vers Dour, Belg (S-O de Mons) - Capturé le 21/05/1943 (peut-être à Bordeaux) - Dulag Luft Oberursel (14/07/44)/Stalag IV-B Mühlberg (16/09/43-23/04/45)
F/O Kenneth Alexander Adam MitA RAF Décédé Cim Com de Chievres, Belgique * 124637 - 31 ans - Fils de Kenneth et Margaret (Bruce) Adam - West Derby, Meyerside UK -
* L'astérique placé à la fin d'un lieu d'inhumation indique qu'il est confirmé
** Les sources sont citées chronologiquement en fonction des nouvelles informations reçues ou trouvées
Fiche tech Correspondance grades Abréviations utilisées Filières d'évasion Camps de Pow Bases RAF/USAAF Utilitaires
Compléments (rapports - helpers - récits - liens - photos)
Rapport F/Lt Barker: - ( I belonged to the same crew as Sgt. Walker. On baling out I came down, about 0200 hrs (10 Mar) in a field near a railway line running from Ath to Mons. I buried my parachute and mae west under some leaves behind a fence, and set off walking in a South westerly direction until I came to the Mons - Tournai road. I continued along this road in the direction of Tournai, and about 0430 hrs came to a house showing several lights in the windows. I can speak hardly any French, but I knocked at the door, and asked the woman who opened it for help. She took me in, gave me a meal, a civilian jacket, and, in exchange for my flying boots, a pair of civilian shoes.
While here I removed the badges from my tunic, and emptied the contents from my aids box into my pockets. I asked my helper to direct me to the French frontier. She could not tell me herself, but fetched her son, a boy aged about 22, who said he would accompany me. He took me as far as the Conde area and then left me. I crossed the frontier about 0800 hrs (10 Mar), but I do not know exactly where. In spite of my escape compass, I completely lost my direction in this marshy district. Eventually, I found myself on the North bank of the Conde Canal. I started walking again in a westerly direction until I came to the French frontier. Here there was a barrier and a sentry box, near which were standing some French officers. I turned back and walked in the opposite direction. After some time I met a young French miner. I told him who I was, and asked him the way to Valenciennes. He put me on the right road, and I walked straight into the town. Just inside the town, about 1300 hrs (11 Mar) I stopped at a cafe for a meal and a drink. Here I approached the proprietress, and asked her if I could stay for a night at her cafe. She told me she could not help me, but that she knew of someone who might. About two hours later a man arrived. He took me to a bar at the back of the cafe, and after questioning me as to my identity, put me in the hands of an organisation which arranged my journey back to the U.K. This man told me that he had heard that my aircraft had crashed and was burnt out.
Original
) - ( PARTIE I - WO 208/3314/1298 - Source : Nat Arch UK - Traduction Ph Laroyenne):
J'appartenais au même équipage que celui du Sgt. Walker. Après le saut en parachute, j’ai atterri vers 02h00 (10 mars) dans un champ près d'une voie ferrée allant d'Ath à Mons. J'ai enterré mon parachute et ma Gilet de sauvetage gonflable (du nom de Mary 'Mae' West au buste généreux) Mae West sous des feuilles derrière une clôture et j’ai marché en direction du sud-ouest jusqu'à arriver sur la route Mons - Tournai. J'ai continué sur cette route en direction de Tournai et, vers 4 h 30, je suis arrivé à une maison présentant plusieurs lumières aux fenêtres. Je ne parle presque pas français mais j'ai frappé à la porte et j'ai demandé de l'aide à la femme qui l'avait ouverte. Elle m'a accueilli, m'a offert un repas, une veste civile et, en échange de mes bottes de vol, une paire de chaussures civiles. Pendant que j'étais là, j'ai retiré les insignes de mon blouson et j'ai vidé le contenu de ma boîte de secours dans mes poches.
J'ai demandé à mon aidante de me diriger vers la frontière française. Elle n'a pas pu me le dire elle-même mais elle est allée chercher son fils, un garçon d'environ 22 ans, qui a dit qu'il m'accompagnerait. Il m'a emmené jusqu'à la zone de Condé[sur-l’Escaut] et puis il m'a quitté. J'ai traversé la frontière vers 8 heures (le 10 mars) mais je ne sais pas exactement où. Malgré ma boussole d’évasion, je me suis complètement perdu dans ce secteur marécageux. Finalement, je me suis retrouvé sur la rive nord du canal de Condé.
J'ai recommencé à marcher vers l'ouest jusqu'à ce que j'arrive à la frontière française. Il y avait là une barrière et une guérite, près desquelles se tenaient quelques officiers français. Je me suis retourné et j'ai marché dans la direction opposée. Après quelques temps, j'ai rencontré un jeune mineur français. Je lui dis qui j'étais et lui ai demandé le chemin de Valenciennes. Il m'a mis sur la bonne route et je suis entré directement dans la ville. Juste à l'intérieur de la ville, vers 13 heures (le 11 mars), je me suis arrêté dans un café pour un repas et une boisson. Je me suis approché de la propriétaire et lui ai demandé si je pouvais rester une nuit dans son café. Elle m'a dit qu'elle ne pouvait pas m'aider mais qu'elle connaissait quelqu'un qui le pourrait.
Environ deux heures plus tard, un homme est arrivé. Il m'a emmené dans un endroit interdit au public à l'arrière du café et, après m'avoir interrogé sur mon identité, m'a confié à une organisation qui a organisé mon voyage de retour au Royaume-Uni.
Cet homme m'a dit qu'il avait entendu dire que mon avion s'était écrasé et avait brûlé.
Rapport F/Lt Barker: - ( Two bodies had been found in the plane. He also told me that the pilot (S/Ldr. Sage), although wounded, had set off walking by myself. He had met a Pole working in the mines near Boussu and asked him for assistance. This man betrayed him to the Germans. The local inhabitants later attacked the traitor, and as a result of their attentions he was now dangerously ill in hospital. The man who came to see me in the cafe at Valenciennes was Robert Armstrong, an Irishman employed by the British War Graves Commission. He took me to the house of M. and Mme. Louis Singier in Valenciennes who looked after me for eight days. During this time Armstrong brought M. Leclerc, a member of the organisation, to see me. He also took away my R.A.F. battle dress blouse, which I had been wearing under a civilian jacket, and trousers, and gave me a pair of civilian trousers. On 19 Mar Leclerc, accompanied by another man, visited me. He said his companion would take me to Arras. Accordingly we caught a train about lunch time, and when we arrived in Arras my helper took me to the house of Mme. Witton, 6 rue Bapaume, Achicourt. I stayed here until 4 Apr, and during this time I had my photograph taken for an identity card. While here d'Allendre, who is the Chief Engineer on the railway at Arras, and lives at Lille, brought me a black identity card. At about 0800 hrs on 4 Apr, Mme. Witton, d'Allendre and I caught a train from Arras to Paris. There was no control either at the station or on the train. We stopped at a cafe near the Gare du Nord, and there met several members of the organisation, among whom were Robert and Paul. I was taken by Robert to the house of M. Jacques Ponty, 24 rue Ampére, (Wagram). I stayed here until 23 Apr, and M. Pierre Grappin brought me some food tickets. On 23 Apr I was taken to an unknown helper, to an address which I do not remember. I stayed with these people until 27 Apr. They continually questioned me about my squadron, where I had come from, the operation in which I had been engaged. I do not think they were very discreet.
While in Paris, Robert introduced me to a friend of his, Brian Courtney Meyer, who is a student doctor.
Original
) - ( PARTIE II - WO 208/3314/1298 - Source : Nat Arch UK - Traduction Ph Laroyenne):
Deux corps avaient été retrouvés dans l'avion. Il m'a également dit que le pilote (le S/Ldr Sage), bien que blessé, était parti seul à pied. Il avait rencontré un Polonais travaillant dans les mines près de Boussu, Belgique, et lui avait demandé de l'aide. Cet homme l'a livré aux Allemands. Les habitants locaux ont ensuite attaqué le traître et avec pour résultats qu’il était maintenant dangereusement malade à l'hôpital.
APPENDIX C - L'homme qui est venu me voir au café de Valenciennes était Robert Armstrong, un Irlandais employé par la British War Graves Commission. Il m'a emmené chez Louis Singier à Valenciennes qui a pris soin de moi pendant huit jours [Né en 1891, Louis Singier sera arrêté et déporté (convoi I.281) à Sachdenhausen et Neuengamme où il décèdera le 24/11/1944 et sera inhumé au Cim de Ohlsdorf] . Pendant ce temps, Armstrong a fait venir Mr Leclerc, membre de l'organisation. Il m'a aussi pris mon uniforme de la R.A.F. que je portais sous une veste civile, et le pantalon, et m'a donné un pantalon civil.
Le 19 mars, Leclerc, accompagné d'un autre homme, m’a rendu visite. Il a dit que son compagnon m'emmènerait à Arras. Nous avons donc pris un train vers l'heure du déjeuner, et, lorsque nous sommes arrivés à Arras, mon aide m'a conduit chez Mme Rosine Witton, 6 rue Bapaume, Achicourt [Née en 1906, Mme Witton sera arrêtée et déportée à Holleischen (convoi I.204) dont elle reviendra le 05/05/1945].
Je suis resté ici jusqu'au 4 avril et pendant ce temps, je me suis fait prendre en photo pour une carte d'identité. Pendant que j'étais là, d'Allendre, qui est l'ingénieur en chef du chemin de fer d'Arras et qui habite Lille, m'a apporté une carte d'identité du marché noir.
Vers 8 heures le 4 avril, Mme Witton, d'Allendre et moi avons pris un train d'Arras à Paris. Il n'y a eu aucun contrôle ni à la gare ni dans le train. Nous nous sommes arrêtés dans un café près de la Gare du Nord et y avons rencontré plusieurs membres de l'organisation, parmi lesquels Robert et Paul.
J'ai été conduit par Robert chez Mr Jacques Ponty, 24 rue Ampère, (Wagram).
Je suis resté ici jusqu'au 23 avril et Mr Pierre Grappin m'a apporté des tickets de nourriture.
Le 23 avril, j'ai été emmené chez une aide inconnue, à une adresse dont je ne me souviens pas. Je suis resté avec ces gens jusqu'au 27 avril. Ils m'ont continuellement interrogé sur mon escadron, d'où je venais, sur les opérations auxquelles j'avais participé. Je ne pense pas qu'ils aient été très discrets. À Paris, Robert m'a présenté à un de ses amis, Brian Courtney Meyer, qui est étudiant en médecine.
Rapport F/Lt Barker: - ( On 27 Apr Val took me to the house of Comtesse Helene de Susannet at rue Greuze, Paris XVII. I stayed with her for one day. On 28 Apr at Val's request, I went with the Comtesse Hélène's maid, (who was known to me as "Mme Marie") to Chateau Thierry. We arrived there in the afternoon and were met at the station by Mme Marie's brother, who had with him two bicycles. We cycled to the American monument. About 2 miles due North of this was an old auxiliary aerodrome, which Val had asked me to pace out and measure. He wanted to find out if it was large enough for a Hudson aircraft to land. Within half a mile there was another field which was to be used for supplies for the organisation.
These were to be dropped by aircraft. After I had completed this task we went back to the home of "Mme Marie's" brother, where I spent the night with him. Before I left for Paris next day, I was given e new identity card valid for the Etables district. I had some spare identity photographs with me. Mme Marie and I returned to Paris in the afternoon and went again to the house of the Comtesse Hélène. The following night (30 Apr), Val and a French girl called Andrée took me with a party of other evaders to St. Brieuc by train. This party included an American, and two Englishmen, one of whom was Sgt. Cox, R.A.F. We left Paris about 2200 hrs, arriving at St. Brieuc at 0630 hrs. From here we took a taxi to Etables. I was then taken to the house of the Mayor, M. Camard. I waited in Etables at several different addresses for twelve days, but as the ship, which was supposed to evacuate us, did not appear, I was sent back to Paris about the middle of May. With me were Sgts. Martin and Adams (now in Gibraltar), and we were accompanied by Jacques Bonneroy, whose home is at 14 Ave. Clemenceau, Vinenes, Paris. We caught a train from St. Brieuc at 1050 hrs and arrived in Paris about 1600 hrs. Val and a girl called Elizabeth (I do not remember her surname) met us at the station. Bonneroy then took me back with him to his house for a meal. A little later that day I was fetched by Robert Bonnet, and taken to his home at 7 rue Henri Poincare, where I stayed until 28 May. That morning he took me to the Gare d'Austerlitz where I met S/Ldr. Lefevre, and his party. From this time my story is identical to that told in Appendix C to S/Ldr. Lefevre's report.
Original
) - ( PARTIE III - WO 208/3314/1298 - Source : Nat Arch UK - Traduction Ph Laroyenne):
Le 27 avril, Val m'a emmené chez la Comtesse Hélène de Suzannet, rue Greuze, Paris XVII. Je suis resté avec elle une journée.
Le 28 avril, à la demande de Val, je me suis rendu avec la femme de chambre de la comtesse Hélène (que je connaissais sous le nom de "Mme Marie") à Château Thierry. Nous y sommes arrivés dans l'après-midi et avons été accueillis à la gare par le frère de Mme Marie, qui avait avec lui deux vélos. Nous avons pédalé jusqu'au monument américain. À environ 2 miles au nord de celui-ci se trouvait un ancien aérodrome auxiliaire que Val m'avait demandé de parcourir et de mesurer. Il voulait savoir s'il était suffisamment grand pour qu'un avion Hudson puisse y atterrir. À moins d'un demi-mile, il y avait un autre champ qui devait être utilisé pour les approvisionnements de l'organisation. Ceux-ci devaient être largués par avion.
Après avoir accompli cette tâche, nous sommes retournés chez le frère de "Mme Marie", où j'ai passé la nuit avec lui. Avant de partir pour Paris le lendemain, on m'a remis une nouvelle carte d'identité valable pour le secteur d’Etables. J'avais avec moi quelques photos d'identité de rechange. Mme Marie et moi sommes rentrés à Paris dans l'après-midi et nous sommes retournés chez la comtesse Hélène. La nuit suivante (30 avril), Val et une Française appelée Andrée m'ont emmené avec un groupe d'autres évadés à Saint-Brieuc en train. Ce groupe comprenait un Américain et deux Anglais, dont le Sgt Cox, de la R.A.F. Nous avons quitté Paris vers 22 heures et sommes arrivés à Saint-Brieuc à 6 heures 30. De là, nous avons pris un taxi pour Etables-sur-Mer. J'ai ensuite été conduit chez le maire, Mr Camard.
J'ai attendu douze jours à Étables, à plusieurs adresses différentes, mais comme le navire qui devait nous évacuer ne venait pas, j’ai été renvoyé à Paris vers la mi-mai. Avec moi, il y avait les Sgts Martin et Adams (maintenant à Gibraltar), et nous étions accompagnés de Jacques Bonneron, dont le domicile est au 14 avenue Georges Clemenceau, Vincennes [Mr Jacques Bonneron, né le 18/12/1923, a été arrêté et déporté en Mars 1944 (N° 22326). Il est passé par les camps de Buchenwald, Neuengamme, Naatzweiler et Dachau. Il est rentré le 29/04/1945.].
Nous avons pris un train de Saint-Brieuc à 10h50 et sommes arrivés à Paris vers 16h00. Val et une fille appelée Elizabeth (je ne me souviens plus de son nom de famille) nous ont accueillis à la gare. Bonneron m'a ensuite ramené avec lui chez lui pour un repas. Un peu plus tard dans la journée, j'ai été récupéré par Robert Bonnet et conduit à son domicile du 7 rue Henri Poincaré à Paris, où je suis resté jusqu'au 28 mai. Ce matin-là, il m'a emmené à la Gare d'Austerlitz où j'ai rencontré le S/Ldr Lefèvre et son groupe. A partir de ce moment, mon récit est identique à celui raconté dans l'Annexe C du rapport du S/Ldr Lefèvre.

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