|
(Images transmises par Michel Auburtin) Traduction partielle du rapport d’enqête - ( On October 12, 1944, Lt Gregg and crew took off from A-39 on an operational mission. Just after passing the bomb line, the left engine of the aircraft quit. Since, according to the pilot, it was impossible to gain even partial power from this engine he feathered it and turned back toward friendly territory. After descending through an overcast and jettisoning the bomb load, Lt Gregg, pilot, began cherching for an emergency landing field. It is during this period the pilot reports his good engine started missing and cutting out and that he had four of his crew members bail out before feathering his remaining engine. The ship was "belly landed" in an open field and investigation reveale that both props were feathered at time of landing. Since the crash occured in an inaccessible part of France, this Headquarters at first suspected battle damage to be the cause of the accident and investigation was delayed considerably until crew members could be reached and inspection of the wreckage begun. Original) - (source : Accident Report - AFHRA>): Le 12 octobre 1944, le lieutenant Gregg et son équipage ont décollé de l'A-39 pour une mission opérationnelle. Juste après avoir passé la ligne de bombe, le moteur gauche de l'avion s'est arrêté. Comme, selon le pilote, il était impossible d'obtenir une puissance même partielle de ce moteur, il l'a mis en drapeau et a fait demi-tour vers le territoire ami. Après avoir traversé un ciel couvert et largué la charge de bombes, le lieutenant Gregg, pilote, a commencé à chercher un terrain d'atterrissage d'urgence. C'est au cours de cette période que le pilote signale que son bon moteur a commencé à manquer et à se couper et qu'il a fait sauter quatre de ses membres d'équipage avant de mettre en drapeau son moteur restant. Le navire a été « débarqué sur le ventre » dans un champ ouvert et l'enquête a révélé que les deux hélices étaient en drapeau au moment de l'atterrissage. Étant donné que l'accident s'est produit dans une partie inaccessible de la France, ce quartier général a d'abord soupçonné que les dommages au combat étaient la cause de l'accident et l'enquête a été considérablement retardée jusqu'à ce que les membres d'équipage puissent être rejoints et que l'inspection de l'épave puisse commencer.
| |