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Rapport du pilote (source Accident Report - AFHRA): On the 9 November 1944, returning from an operational mission, the filght we were in ran into snow storms, so the flight leader broke the flight up. When we were separated from the rest of the flight I tried to get the weather at the field. Radio contact by voice was impossible so the radio operator tried to get contact on Continuous Waves (télégraphe,
Morse)C.W. His first message was received and challenged, further contact was interrupted by static. The navigator couldn't locate our position because of weather. When we arrived at a break in the clouds the navigator thought we were north of the field and suggested a south heading. All the while we tried contact by radio VHF, liaison and command. The radio compass picked up nothing. Both warning lights on the liquidometer were burning, the left tank over fifteen minutes and the right for ten minutes. The country was rolling terrain with very small fields, so a crash landing was too dangerous for a full crew. The engineer's parachute harness was found to be in bad conditionso he used the co-pilot's chute. Forced to land with two of us in plane I decided it best to land before an engine failed, because the best field available was short and uphill. Four crew members bailed out and we crashed landed. (Le 9 novembre 1944, à notre retour d'une mission opérationnelle, l'avion dans lequel nous nous trouvions avait des tempêtes de neige. Le chef de vol l'a alors interrompu. Quand nous avons été séparés du reste du vol, j'ai essayé de voir le temps qu'il faisait sur le terrain. Il était impossible de contacter la radio par la voix. L’opérateur radio a donc tenté d’obtenir le contact sur C.W. Son premier message a été reçu et contesté, tout contact ultérieur a été interrompu par des parasites. Le navigateur n'a pas pu localiser notre position à cause des conditions météorologiques. Lorsque nous sommes arrivés à une pause dans les nuages, le navigateur a pensé que nous étions au nord du champ et nous a suggéré de nous diriger vers le sud. Pendant tout ce temps, nous avons essayé le contact par radio VHF, la liaison et le commandement. Le compas radio ne détectait rien. Les deux voyants du liquidomètre étaient allumés, le réservoir gauche plus de quinze minutes et le droit pendant dix minutes. Le pays était un terrain vallonné avec de très petits champs, donc un atterrissage forcé était trop dangereux pour un équipage complet. Le harnais de parachute de l’ingénieur s’est avéré en mauvais état et il a utilisé la goulotte du copilote. Forcé d'atterrir avec deux d'entre nous dans l'avion, j'ai décidé qu'il était préférable d'atterrir avant qu'un moteur ne tombe en panne, car le meilleur terrain disponible était court et en montée. Quatre membres de l'équipage ont sauté et nous nous sommes écrasés.)
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